Alors que la seconde partie du mois d’octobre aurait être dû plus tranquille pour moi, et donc propice au visionnage de dramas, partage de musique, etc. Ce n’est pas vraiment ça... Pour autant, le weekend dernier, nouvelle édition du désormais célibrissime (ou bientôt) Weekend Dramanimique proposé de nouveau par Bouya ! Et ce fut l’occasion pour moi de regarder un peu de dramas (japonais).
Comme pour les éditions précédentes, le but est simple : regarder autant de fiction asiatique que possible en essayant, en bonus, de respecter quelques options (échec pour ma part cette fois-ci), et partager avec les autres sur réseaux sociaux, surtout Twitter.
Voici la liste des participants (avec Twitter) : Bouya (@Bo0ya_), Titesilve (@SandrineSilve), Kiimiko (@sistersnasai), Minsootae (@MinSooTae), alikdream (@Alikdream629), Angel402 (@Angel402_), Lili (@lililou26150), Luthien (@Luthyx), Isley (@Isley_), Idril Palanen, Yuni (@LelfYuni), Cindy (@cindy127U), verslinfini, drama-addict (@dramaddictblog1), petiteluci3 (@Petiteluci3)
Pour ma part, j’avais visé modestement le palier de 6h mais que j’ai largement dépassé, puisque j’ai regardé environ 8h30 de films et de séries. En voici la liste :
Chihayafuru: Musubi - film japonais, 2018 (~ 2h10)
Il s’agit du dernier film de la trilogie Chihayafuru qui est tiré du manga du même nom de Yuki Suetsugu. Cette série met en scène des lycéens jouant à un jeu de cartes basé sur une compilation de cent poèmes japonais.
Je connais le manga depuis longtemps, de par sa réputation, mais sans jamais vraiment m’y être vraiment intéressé. C’est en entendant reparler récemment du titre avec le dernier film que j’ai eu envie de tester, d’autant plus que le rôle principal est tenu par une étoile montante des petit et grand écrans japonais : Suzu Hirose.
Et franchement, c’est excellent ! Ce troisième film conclue en tout cas vraiment bien cette trilogie. Ce que je retiens surtout, au delà de la découverte de Suzu Hirose, excellente, c’est bien cette mise en scène des parties de karuta. C’est particulièrement réussi et on ressent très fortement la pression ; on transpire avec eux, etc. Le karuta, avec ces films, n’est plus un simple jeu de cartes, mais un véritable sport de haut niveau, avec toute la pression qui l’accompagne.
Une très bonne surprise, avec des personnages attachants - j’aurais bien aimé quand même un choix plus clair à la fin de la part de Chihaya... mais qui sait une suite ? -, et la découverte du karuta.
Anone - drama japonais, 2018, épisode 2-5 (~3h20)
On continue avec Suzu Hirose. Après de tels films, je voulais voir autre chose, et anone a justement pas mal fait parlé de lui. Ce drama raconte l’histoire de Harika Tsujisawa (Suzu Hirose donc), une jeune fille seule, sans plus aucune attache familiale, qui va se trouver dans une drôle d’affaire de faux billets. Elle va alors être amené à faire la rencontre de différentes personnes au passé toujours assez difficile. Pour autant, cette histoire raconte d’une certaine façon la renaissance de Harika qui va retrouver un petit cocon protecteur. Mais c’est loin d’être aussi simple.
Ce drama est scénarisé par Yuuji Sakamoto, un grand nom dans le milieu avec des titres comme Saikou no Rikon, ItsuKoi ou encore Quartet pour des séries que je connais. Il apporte toujours un grand soin dans le développement de ses personnages, des dialogues, etc., donnant ainsi une réelle profondeur à ses séries.
Anone n’est pas une série marrante, au contraire, on plonge ici dans le quotidien difficile, même parfois meurtri de tous ces personnages qui ne vont pas forcement faire les bons choix. Mais ils sont tellement attachants, j’espère que cela ne va pas mal finir...
Je ne veux pas encore en dire trop, j’en suis actuellement à l’épisode 6, et je veux surtout savoir comment cela va avancer. En tout cas, si vous cherchez un bon drama japonais dramatique et prenant, anone s’avère un très bon choix.
Legal High - drama japonais, épisode 1 (~50 minutes)
Revisionnage ici, pour montrer la série à une amie. Rien de particulier à redire sur ce drama que j’adore. Qu’importe le nombre de fois que je revisionne la série, elle me plait toujours autant ; cela me plait de retrouver Sakai Masato dans son rôle de Komikado-sensei, un avocat excentrique mais hilarant.
Legal High reste à mes yeux une référence dans les comédies japonaises.
Code Blue, saison 3 - drama japonais, épisodes 9-10 (~1h40)
Série finie. Étrange sensation avec cette troisième saison de cette saga culte. J’ai aimé retrouvé les personnages de Doctor Heli, retrouver les sensations de ce qui fut l’un de mes premiers dramas. J’ai moins aimé ces nouveaux internes qui manquaient d’intérêt. Puis, malgré l’évolution intéressante de Aizawa, Shiraishi, etc., la série manquait aussi un peu d’ambition. J’ai donc aimé retrouvé Code Blue, tout en étant déçu de ne rien avoir de plus. Quoi qu’il en soit le final était vraiment réussi - si ce n’est les 20 dernières minutes avec un peu trop de blablas.
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Voilà, cela reste un bilan assez modeste. Toutefois, avec ce sixième weekend dramanimique, j’ai pu en profiter pour avancer dans mes dramas, et c’est déjà cool. En tout cas, depuis quelques temps, je ressens vraiment le besoin de revenir vers les dramas japonais. Il y a quelque chose de beaucoup plus authentique dans les séries japonaises qui me manquaient.
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