samedi 26 novembre 2011

Réaction d'une employée de Kazé à propos d'Aria

J'ai eu l'occasion ces derniers jours, sur le forum du site internet de Kazé, d'échanger un peu sur Aria. C'est à ce moment que j'ai eu le plaisir de constater l'entrée dans l’arène d'une membre du staff de Kazé, plus exactement quelqu'un chargé des relations presse. Autant dire que c'était pour moi une bonne occasion de discuter avec eux. L'échange se résume à quelques messages, mais que je trouve assez intéressants.

[Le forum de Kazé étant un forum public, les messages postés dessus le sont aussi - donc visible par tout le monde -, de ce fait, c'est une réaction officielle de leur part et je ne considère pas que les citer soit "illégal", "malvenu".]

Sa première réaction a fait suite au fait qu'on discuter sur la décision de licencier la troisième saison d'Aria sans même par commencer par le début. J'avais avancé l'idée que c'était pour (au moins en partie) pour court-circuiter les fansubs. Sa réaction :
" Si licencier une série pour stopper le fansub était une solution ça se saurait...
Le souci est que cette série n'a pas marché et est arrivée trop tard en France où une grande partie du public qui aurait pu être intéressé par Aria l'avait déjà vu sur le net... "
Ma réponse à cette intervention (sur le topic en question) : ici.
A ce message, j'ai eu le droit à un second message de sa part :
Sur la question du fansub :
" Vous m'avez mal compris : le fait de licencier une série ne stoppe pas le fansub hélas de nos jours. Le problème pour les premières saisons était en revanche qu'elles avaient déjà été téléchargées un nombre incalculable de fois. Nous avions donc pris le parti de voir si la saison 3 fonctionnerait tout de même afin de laisser une chance à cette série que nous aimons nous aussi beaucoup. A vous entendre cela aurait été mieux de ne rien faire du tout c'est cela?

Sur ma critique sur le fait de trop mettre sur le dos du fansub l'échec de la sortie dvd :
" Nous n'avons jamais dit tout cela ! Nous avons dit : on fait un essai avec la saison 3 encore inédite en France (en fansub) et on voit si cela fonctionne pour pouvoir sortir les premières saisons. C'était un pari risqué. Résultat : la saison 3 ne fonctionne pas, alors qu'elle est inédite, alors que se passerait-il avec les premières saisons? Vous avez tendance à oublier que les séries s'achètent aux ayants droits japonais avec des engagements de résultats. Et je trouve que chez Kazé on ne fait pas dans la facilité en terme de séries et de films : le catalogue comporte des séries et films à la fois grand public mais aussi plus confidentiels et difficiles à mettre en avant justement parce qu'on souhaite proposer tous les genres et beaucoup de diversité, et croyez moi : ce n'est pas facile de voir de petites merveilles passer à la trappe parce qu'elles ne séduisent pas assez de monde! "

Sur ma critique concernant la politique commerciale de Kazé avec Aria the Origination :
" On a eu le mérite de sortir cette série, je ne suis absolument pas d'accord avec vous. C'est dramatique de voir qu'une bonne série ne fonctionne pas autant qu'elle le devrait. Moi aussi je suis passionnée figurez vous!
Et je ne suis pas d'accord avec vous sur notre "malhonnêteté" : pensez vous que nous aurions acheté la série si nous savions d'avance qu'elle ne marcherait pas? Quant à la pub absente, ce n'est pas parce que vous ne l'avez pas vue qu'il n'y en a pas eu. Nous communiquons et accompagnons du mieux que nous pouvons tous nos titres, et ce n'est pas toujours facile. Alors bien sûr, Kazé ce n'est pas Warner, nous n'avons pas les mêmes moyens, mais cela ne veut pas dire qu'on ne fait rien...

Dans tous les cas, je suis désolée de voir que vous pensez que nous n'avons pas fait notre travail sur cette série et que vous pensez que notre seul but était de la torpiller. Ce n'est pas du tout le cas, et j'espère que vous le comprendrez. "
J'ai encore une fois répondu à son message (ici), sans nouvelle réponse cette fois-ci.

On pourra me reprocher d'être très subjectif, partial. Ma façon de voir tout ça est forcément biaisée par le fait que je suis un client (donc qui en veut pour son argent), et aussi, et surtout, un fan. Je le reconnais donc mes arguments sont aussi à prendre avec des pincettes.
Cependant, je pense que ce n'est pas pour cela qu'il ne faut rien dire. J'ai principalement deux reproches à faire à Kazé :

- Le fait d'avoir choisi de commencer à sortir les dvds d'Aria par la saison 3 ! Ce choix est d'une logique très contestable. Admettons leur argument de se baser sur l'idée que les deux premières saisons d'Aria avait été déjà beaucoup visionnées en fansub, peut être admettons. Mais il y a des choses à prendre en compte tout de même (qui relativisent beaucoup cet argument) : Aria était très peu connu (ce n'est pas parce qu'Aria était alors déjà bien populaire au Japon que c'était aussi le cas chez nous) et en plus le fansub autour de cette série était encore très peu développé, seul Aria the Animation était entièrement subbé, Aria the Natural, il n'y avait alors que les premiers épisodes. J'avais suivi moi-même la série en anglais. Aria reste encore aujourd'hui une série assez méconnue, mais ma/notre croisade pour la bonne parole n'est pas prêt de s'arrêter~

- Ma deuxième critique elle est sur l'attitude de Kazé lors de l'annonce de cette licence. Je vous renvoie à Manga-News si vous ne connaissez pas le communiqué en question. Sentant les critiques et le fait que cette décision forcément ne plairait pas à beaucoup, ils ont avancé des arguments très discutables. Je ne retiendrai là que le fait qu'ils ont fait un beau chantage quant à l'avenir des autres saisons chez nous. Honnêtement, même si j'avais espoir que la série fonctionne bien chez nous, je savais que c'était quasiment irréalisable. Comment voulaient-ils par exemple que Aria the Origination sur leur site - payant - ait autant de succès que du fansub gratuit ?! (attention, je ne dis pas ça en défendant pas le fansub, au contraire !) Quant à la vente des dvds, sachant que le marché de la japanimation en France est très difficile, j'avais du mal à imaginer des ventes à la Naruto... Surtout que le client est peut être pigeon, mais beaucoup savent que, là, c'est une saison 3 et le début... Pourquoi commencer par la fin ? Ce n'est pas logique (sauf peut être pour ceux qui lisait le manga).

Voilà, ça fait très râleur ; j'assume, surtout que je suis français, j'aime râler~ Je ne retire pas à Kazé le mérite d'avoir voulu licencier Aria cher nous. Cette personne semble m'avoir répondu parce qu'elle aimait cette série ; ça m'a fait plaisir. Mais, la forme était assez critiquable quand même (le fond aussi...). Les choses sont ainsi, et il y a peu de chance que ça évolue. Ils ne vont pas (enfin qui sait~ L'espoir fait vivre !) pas licencier le reste comme ça. Je suis peut être de mauvaise fois, mais j'admets très bien que si Kazé perd de l'argent sur une série, il est normal qu'ils ne se risquent pas à en perdre plus. Certes, ça laisse des fans orphelins, mais c'est une entreprise pas une œuvre caritative.

P.S. : Pour ceux qui aimerait se procurer les dvds d'Aria the Origination, sachez qu'ils sont disponible à 30€. Ce qui est un prix très raisonnable.

Vive Aria ! Puis c'est tout~

vendredi 11 novembre 2011

Yotsuba et les retrouvailles !

Yotsuba&! est un de ces mangas qui fait unanimité chez les lecteurs. Comment ne pas accrocher à cette petite série pleine de vie ? Comment ne pas accrocher à cette petite enfant haute comme trois pommes ? Comment ne pas aimer suivre avec elle ses découvertes, aventures ? Comment ne pas sourire, ne pas rire en lisant chaque chapitre ?

Le tome 10 vient enfin de sortir chez nous. Pour souvenir, le neuvième tome était sorti quant à lui le 1 juillet 2010. C'est vraiment long d'attendre... Mais, notre patience est toujours récompensée, et ce dernier tome le confirme une nouvelle fois. Qu'avons nous ici ? Quelques escapades comme celle dans un magasin d'électroménagers, Yotsuba qui apprend à faire des pancakes ou encore qui essaye de mentir, mais aussi nous avons un magnifique retour du grand... Cartox !! A noter d'ailleurs la couverture intérieure du volume à l'effigie de Cartox~ J'ai une petite préférence pour le premier chapitre, "Yotsuba et les blocs" qui, en toute simplicité, décrit une journée de cette petite avec son père. Puis, ce genre de chapitre, ça m'évoque des souvenirs personnels, des situations vécues, et je pense que c'est le cas aussi pour tous ceux qui ont des jeunes enfants dans leur entourage ; c'est tellement vrai !

Pourquoi parler de ce tome - en plus de la raison que, simplement, ce titre le mérite - ? C'est que Kurokawa a lancé un projet : "Enjoy Everything Project" !

Plus exactement, pour accompagner la sortie de ce dernier volume, Kurokawa a décidé de relancer une campagne d'impression des deux premiers volumes de la série, celle-ci étant, chez nous depuis quelques temps, en rupture de stock. Le premier tome est déjà disponible, le second suivra en décembre.
Je ne suis pas un spécialiste du marché de l'édition, mais cette volonté de réimprimer ce manga n'est sans doute pas sans risque pour un éditeur (même s'ils doivent avoir quand même les reins un minimum solides chez cette filiale de Univers Poche - Pocket, Fleuve Noir, etc.). Il n'était pas certain que Yotsuba&! rencontre un succès important en France donc il n'eut droit qu'à un petit tirage. Cela peut se comprendre, les tranches de vie ne sont pas ce qui est le plus porteur, ce n'est pas ces séries vers lesquelles le lecteur va se tourner en priorité s'il ne connait pas vraiment ce genre de manga. Yotsuba&! s'est surtout fait connaître par le bouche à oreille ; à titre personnel, c'est mon libraire qui m'avait encouragé à la lire (et vu que je ne suis pas le genre difficile à convaincre). Republier donc les premiers volumes permettra donc à de nouveaux lecteurs d'en commencer la lecture, et je n'en doute pas, forcément aimer~
J'espère qu'ils se vendront bien car Kurokawa avait annoncé qu'ils continueraient à réimprimer la suite seulement si les ventes sont bonnes. Du coup, je participe un peu à ma manière à promouvoir cette superbe série. J'encourage chacun à essayer, c'est une valeur sûre. Pourquoi pas aussi en profiter pour offrir les premiers tomes comme cadeau (les fêtes de fin d'année approche d'ailleurs) ?

Bref, Yotsuba&!, c'est le bien !!
Enjoy everything !~

mardi 8 novembre 2011

Yûji Iwahara, un mangaka à connaître !

Manga-News a récemment publié sur son site un petit dossier sur le mangaka Yûji Iwahara ; c'est avec plaisir que je l'ai lu car c'est un de mes auteurs préférés. Je vais donc en profiter pour dire quelques mots sur cet auteur et sur ses mangas que j'ai lus.

De très belles couvertures en plus !
Comme beaucoup je pense, j'ai découvert cet auteur avec Le Roi des Ronces (publié chez Soleil Manga). Ce titre - en 6 tomes - m'avait réellement impressionné. Il reste, depuis, la série que je préfère chez lui (et même un de mes mangas préférés tout simplement). Malgré une fin peut être plus étrange/polémique, Iwahara a su créer une histoire vraiment haletante ; on est plongé dans un monde apocalyptique dans lequel quelques humains se réveillent dans un monde peuplé de créatures jurassiques et sanguinaires. L'histoire se déroule dans un seul lieu, l’objectif est tout simplement au début de survivre ; mais rapidement on se rend compte que derrière il y a d'autres enjeux, le personnage de Marco en est l'exemple même. Qui est-il ? Qu'est ce qu'il faisait là ? Qu'est ce qu'il cherche ? Kasumi, l'héroïne, malgré une première impression très classique, au fur et à mesure, on se rend compte que son personnage est bien plus complexe. Les six tomes de l'histoire sont parfaitement gérés, si on adhère au style, la lecture devient excellente.
A noter que Soleil Manga avait sorti également en parallèle une seconde édition, elle entièrement en couleur ; seul les six premiers tomes sont sortis (sur huit), depuis, plus rien.
Le film - adaptation du manga - est disponible en France, mais je l'ai pas encore vu ; je ne peux donc pas faire de comparaison avec. La seule chose que je connais ce sont les trailers vraiment beaux... Il faudrait vraiment que j'investisse dedans !





J'avais ensuite enchainé sur Le Monde de Misaki (chez Delcourt-Akata, en trois tomes). Il est par contre, chronologiquement, plus ancien que le précédent (2001). Ce manga est vraiment très bon. J'y ai vraiment apprécié le mélange entre une histoire assez enfantine reprenant le mythe du monstre du Loch Ness (ici avec une jeune fille qui se prend d'affection pour une créature qui se transforme en un petit garçon) et une histoire d'enquête avec des thèmes bien plus mature (mafia, trafics, polices, etc.). Ce décalage rendait la lecture vraiment intéressante. Malgré un style de dessin très proche avec Le roi des Ronces, l'histoire en elle même est vraiment différente. C'est à chaque fois le cas, Yûji Iwahara est un auteur qui sait se renouveler.

Nekoten est - parmi ceux publié en France (ici chez Asuka) - son titre le plus récent. On s'inscrit ici dans un shônen bien plus classique avec un groupe de protagonistes assistés de chats (qui se transforment) pour affronter une maléfique organisation. Le tout se déroule dans un contexte scolaire. En lui même, le manga n'est pas fantastique, je le reconnais ; on retrouve cependant quelques éléments qui avaient fait la qualité des deux titres précédents notamment le fait que l'auteur sait très bien gérer son histoire. Une chose surtout : il sait à chaque fois surprendre à la fin, les derniers tomes offrent encore ici son lot de surprises. Petit à petit, l'histoire assez classique se démarque assez bien des classiques du genre.

Le dernier manga disponible en France, L’œil du Loup, est à proprement parler un recueil de trois courtes histoires.e titre français reprend en fait celui de la troisième et dernière histoire ; celle-ci est aussi la plus longue. L'intérêt principal de ce volume (publié chez Delcourt-Akata) est de voir comment le coup de crayon du mangaka a évolué. On reconnait bien son style, le dessin est tout de même légèrement plus brouillon, moins assuré. Nekoten est son manga peut être le mieux dessiné, mais celui avec le plus de force est sans aucun doute Le roi des ronces pour lequel la tension est palpable rien qu'à travers le dessin. La première histoire, le siècle du fer, aurait pu être la base d'une histoire sympathique.

Parmi ses autres mangas, Koudelka n'est pas encore publié en France (mais il l'est en Italie par exemple), de même que sa récente adaptation de Darker than Black (dont il était le charac-designer) ; il y a encore quelques autres titres comme son tout dernier - encore en cours - Dimension W. Du coup, j'espère que ses autres titres arriveront également chez nous.

Yûji Iwahara n'est pas un mangaka très connu. Il n'y véritablement que son Roi des Ronces qui a rencontré un réel succès (très loin des blockbusters toutefois). C'est dommage, car c'est quelqu'un qui a beaucoup de talents. Le Monde Misaki est par exemple un manga que tout le monde devrait lire (surtout qu'en plus il n'est qu'en trois tomes), on y retrouve tous les ingrédients d'un bon manga : une histoire bien maitrisée avec son lot de surprises malgré un format très court, des personnages bien travaillés et un coup de crayon vraiment très agréable. Ce que je préfère chez lui, c'est sa faculté à surprendre ; même Nekoten pourtant assez classique a su offrir son lot de surprises.

Si vous ne le connaissez pas, n'hésitez pas à essayer un de ces mangas, vous pourriez être surpris, positivement !

vendredi 4 novembre 2011

Japan Expo Centre, 1ere édition : impressions !

Avant d'être un peu trop hors-calendrier, et dans la lignée de quelques billets (blog de la Linottes, le blog d'Animit, ou encore sur Néant Vert), je vais laisser un petit avis sur la première édition de la Japan Expo Centre qui s'est déroulé à Orléans le weekend dernier (29 - 30 octobre 2011).

Je ne suis pas forcément un expert des conventions, je vais chaque année depuis quelques temps à la classique Japan Expo, une fois à la Chibi-Expo il y a deux ans à Paris, la fête de l'animation à Lille. Je ne vais pas prétendre donc à avoir un avis très intéressant.


C'était assez petit... C'est un regret, j'y étais les deux jours et une seule matinée suffisait pour faire le tour. Même la Chibi Expo en comparaison permettait de bien tenir la journée. Il y a cependant un avantage : on peut vraiment faire le tour, ça c'est bien. On peut aller, venir et encore revenir sur les stands ; on a le temps, on n'est pas pressé. J'ai apprécié cela.
En fait, je regrette surtout l'absence quasi-totale des éditeurs de mangas , il y avait toutefois Nobi Nobi (j'en ai profité pour acheter enfin leur dernier Kaguya, princesse au clair de lune) - avec des vendeurs/euses vraiment très agréables. Les éditeurs seront peut être à la Japan de Bruxelles ce weekend, mais malheureusement, je ne vais pas pouvoir y aller même en étant à une grosse demie-heure de train de cette ville...


J'ai trouvé qu'il y avait pas mal de monde, surtout le samedi ; il n'était pas toujours facile de circuler entre les stands à certaines heures ; c'est peut être bon signe pour l'affluence. Cette impression était sans doute renforcée du fait de la faible surface pour les exposants. Coté des stands, il y avait toutefois de quoi se satisfaire - quitte à payer le prix fort pour les dvds notamment où même Manga-Discount ne se pas gêner à gonfler les prix. Quelques stands d'amateurs également ; pas mal d'endroits pour manger (mais du coup, une légère brume et des odeurs), on pouvait aussi passer un peu de temps dans le coin des jeux-vidéo. Du coté de la mezzanine, le tour était également assez rapide, j'ai même trouvé ça assez dommage ; les stands, qui s'y trouvaient, se voyaient un peu oubliés. Le stand de conférence quant à lui, parfois, c'était un peu le Sahara. Sacré courage de la part du gars qui décrivait le samedi son expérience de dessinateur au Japon, en face de lui, il n'y avait que 4-5 personnes, et encore, la moitié jouait avec leur téléphone portable. Reconnaissons que du coté des invités, c'était très moyen...
'fin bref, coté achat, je me suis restreint avec deux artbooks de CCS et Chobits, un album de Kanon Wakeshima et une belle figurine de Marin (Umi Monogatari).


J'ai surtout apprécié cette Japan Centre du fait que j'y étais un avec un groupe d'amis. Seul, pour cette convention, quelques heures suffisent, en groupe ça passe bien mieux. Plus, il y avait quand même quelques activités notamment avec Bulle Japon. Je me suis d'ailleurs bien amusé, le dimanche, lors du quizz Pokémon et le karaoke Pokémon qui avait précédé. Par contre, faut vraiment que je rattrape mon retard sur la dernière génération... Deux amies ont remportés le quizz Disney !

Pour conclure, c'est une première édition, on peut la voir comme un coup d'essai. Il y a cependant quelques éléments positifs : il semblait avoir un peu de monde, le lieu de l'exposition est agréable (et très facilement accessible), il y a un potentiel de croissance assez conséquent. De ce fait, j'espère l'année prochaine pouvoir retourner à Orléans (même si je reconnais que c'est aussi un prétexte pour y retrouver des amis~). On  aura vite fait le tour, mais si on est en groupe et qu'on participe aux différentes activités, le weekend se rempli bien.