vendredi 10 mai 2019

Et si on reparlait des ONE CHANCE ?

ONE CHANE - Jmusic - Avex

J'avais en effet envie de reparler des ONE CHANCE sur ce blog ! Je vous avais présenté ce jeune groupe féminin porté par Avex en septembre dernier. Celui-ci est composé de dix membres (que vous pouvez redécouvrir sur cette page) avec comme motivation former un groupe axé danse et chant.

Quelques liens : Site officiel | Twitter | Instagram | Facebook | YouTube

ONE CHANCE poursuit depuis sa petite route en enchaînant entraînements, activités ainsi que des performances dans différents festivals au Japon mais aussi à l'étranger. Elles avaient en effet été en décembre à Taïwan au COOL JAPAN FEST 2018. Leur chaîne YouTube regroupe justement quelques vidéos de cet événement pour se faire une idée de leur prestation sur scène - voir la playlist - et apprécier ainsi cette belle séquence de titres et de leur chorégraphie bien dynamique. En voici un petit résumé :

COOL JAPAN FEST 2018, Taïwan
(Avex... donc si besoin voici le lien vidéo)

Je continue donc à suivre ce groupe tout en espérant qu'Avex leur donne la chance de se lancer véritablement, avec un premier CD qu'elles méritent amplement. J'imagine que l'ancien public du groupe d'idols GEM (dont proviennent Sara, Jurin, Kako et Hirari) l'attend aussi. Toutefois, même en dehors du Japon, on peut déjà tous profiter d'un ensemble de quatre chansons disponibles sur les différentes plateformes de streaming, comme Apple Music ou Spotify. Si je devais faire un choix, mon titre préféré serait « Don't think, feel » suivi de celui que je vais mentionner après. Si vous ne connaissez pas encore ce groupe, je vous encourage vraiment à écouter un peu ces titres aux sonorités modernes et dynamiques. Ou alors à profiter des vidéos de danse si classes ? Ce sont en effet de vraies danseuses ; elles ne dansent pas seulement pour effectuer la chorégraphie qui accompagnerait chaque chanson ; la danse est vraiment ce qui les réunit, elle est au cœur de leur projet. Un exemple :

« 私には夢がある / Watashiniha Yume ga Aru (= j'ai un rêve»
Vidéos : Partie 1 | Partie 2

Showroom constitue un bon moyen pour suivre les différentes membres du groupe. Pour ma part, je suis essentiellement Ryoko Shimizu, Airi Hisatomi ou Anju Takeuchi, mes membres préférés du groupe. Je suivais aussi régulièrement Anna et Hirari (celles qui chantent le plus sur scène) avant, mais, dernièrement, il semblerait que je ne suis pas du tout dispo aux bonnes heures. Puis, c'est quand même toujours assez sympa quand elles reconnaissent ton pseudo (comme tout à l'heure avec Luna, alors que je n'avais pu la suivre quelques semaines), parfois même en répondant avec de petits "bonjour" ou "merci" en français. ONE CHANCE est aussi présent sur TikTok avec évidemment très souvent des petites perfs improvisées 'à la TikTok' ou plus en mode danse (comme ici avec la (très belleSara). Évidemment, il y a Instagram (Anju est très active dessus) ou Twitter.

Si ONE CHANCE n'est pas encore le nouveau E-girls, pas en terme de talent mais en terme de reconnaissance, elles ont pourtant vraiment de vraies qualités pour percer. J'espère sincèrement qu'Avex leur donnera véritablement une chance. Si vous avez l'occasion et l'envie, je vous invite vraiment à découvrir leur musique, leur danse. De mon côté, je vais en tout cas continuer à les suivre, attendre les prochaines vidéos, et continuer à leur dire coucou lors de leurs prochaines apparitions sur Showroom.

samedi 4 mai 2019

Découverte musicale : ONEPIXCEL, vers un bel horizon bleu

OnePixcel - ワンピクセル - Ami Kanuma (鹿沼亜美), Nanami Tanabe (田辺奈菜美) et Ayaka Den (傳彩夏)

Petite présentation d'artiste avec un groupe, un trio d'idols que je me suis mis à beaucoup écouter depuis le début de cette année : ONEPIXCEL. Cette formation est actuellement composée (depuis la gauche sur l'image ci-dessus) de Ami Kanuma (鹿沼亜美), Nanami Tanabe (田辺奈菜美) et Ayaka Den (傳彩夏).
J'ai découvert en fait ce groupe féminin l'année dernière sur le blog de Gru! toujours riche en découvertes musicales. Elle y postait alors notamment leur dernier MV en date « Sparkle », un titre que j'avais vraiment bien aimé et qui m'avait familiarisé avec ces idols. Toutefois, noyé dans le riche flot de l'été, je n'avais pas poussé ma curiosité beaucoup plus loin. Erreur corrigée depuis.

Quelques liens : Site officiel | Twitter | InstagramYoutube (Playlist MV)

En effet, au début de l'année, par le hasard de la navigation sur YouTube, je suis retombé sur le nom de ce groupe avec un clip que je ne connaissais pas : « Girls Don't Cry » sorti en novembre 2018 (et titre principal de leur troisième single en major sorti le 5 décembre). Et là, magie de la découverte, ce fut le coup-de-cœur. 

« Girls Don't Cry »

Ce clip, après un survol au-dessus de la ville débute de façon assez mystérieuse, la caméra tourne autour des membres assez longtemps et, quand ils croisent la caméra, les regards d'Ami, Ayaka et Nanami sont lointains. Ne pas pleurer et l'accepter ; ne pas oublier et ne pas fuir. Ces séquences dans la ville - qui diffèrent beaucoup de leurs clips précédents -, où on les suit souvent en train de marcher, contraste avec celle en intérieur beaucoup plus dansante, notamment lors du refrain plus rythmé parsemé de séquences en anglais. Sans être extraordinaires, par leur ambiance, le rythme et le style de la musique, la chorégraphie simple mais efficace et bien menée, le clip et la musique m'ont directement parlé dès la  première fois. Depuis, ce titre tourne en boucle très régulièrement chez moi avec quelques autres du groupe. J'apprécie aussi particulièrement le niveau de danse des trois jeunes femmes, bien au-dessus de la moyenne (cette vidéo le montre bien par exemple).

« Sparkle »

Comme quoi tout peut changer avec un seul clip, si « Sparkle » m'a fait découvrir le groupe, c'est bien « Girls don't cry » qui me l'a fait aimer. Forcement après, on voit les autres titres différemment, on s'y attarde, on les écoute et on les regarde avec plus d'attention. Par exemple, « Sparkle » est en fait si prenant avec ce rythme frappé régulier.
Il est vrai, pour reprendre les commentaires de Gru!, on ne peut pas exclure une certaine influence de Perfume (notamment dans « LACRIMA », voir plus bas), au-delà du fait qu'on est ici une formation de trois jeunes femmes. Malgré ces quelques élans d'électro et ces jeux de lumière, ONEPIXCEL officie dans un registre assez différent pour moi, à la différence du trio kolme par exemple (et encore, ce serait mal de réduire ce groupe à cette seule influence). D'ailleurs, quand on s'attarde sur les débuts du groupe, avec leur premier single indies, leur titre « Analoganize » (ci-dessous) donne un ton musical rock bien différent (et fort sympa) alors que « TONDEKE » offre un titre bien plus pop, joyeusement rythmé (ce que j'aime), très idol si on peut dire ça.

« Analoganize »

Si on remonte justement aux origines de groupe, ONEPIXCEL fut donc fondé en septembre 2015 et le groupe comptait alors quatre membre ; Raia Kozuka le quitta un an plus tard. Après deux singles en indies (et un mini-album), elles sont passées en major en signant chez Nippon Columbia avec un premier single nommé LACRIMA publié en mars 2018. Le titre principal de celui-ci (ci-dessous) ne fut pas moins que l'un des endings de la série Dragon Ball Super. Étant donné la renommé de cette licence, on peut imaginer la retombée positive pour le groupe. Ceci se ressent fortement avec le compteur de vues du clip sur YouTube, plus de 3,5 millions de vues, très largement au-delà de toutes leurs autres vidéos.

« LACRIMA »

Cette période de changement de label a été notamment marquée par la sortie de leur premier album monochrome dont le titre signature est l'un de mes préférés du groupe. Je les trouve toutes trois magnifiques dans ce décors figé avec cette dominante bleue propre au groupe. En fait, quand on regarde les clips dans leur ordre de sortie, je trouve que « monochrome » montre une rupture, une certaine maturité atteinte par les filles (en comparaison avec par exemple du pourtant bien joli « sora » sorti seulement quelques mois avant) et leur style qui promet beaucoup plus de choses malgré ce que le titre de la chanson laisse entendre. Si ce n'est avec les quelques vidéos postées sur leur chaîne déjà bien convaincantes, je ne me suis pas encore trop attardé sur des extraits de live pour apprécier leur prestance sur scène, face au public.

« Monochrome »

OnePixcel - ワンピクセル - CD

Le groupe enchaîna ensuite l'année 2018 sur un beau rythme de croisière, avec le 2e single Sparkle qui sortait donc en août accompagné de ses déhanchement introductifs et ses claps de mains, puis l'excellent Girls Don't Cry qui paraissait en décembre. Je suis désormais dans l'impatience de la sortie de leur prochain single (et de la parution du MV) Final Call qui va sortir le 5 mai 2019 prochain. Les illustrations utilisées (dont celle en tête de ce billet) laissent penser à un clip plus coloré.

En patientant, je me suis procuré une bonne partie des CDs de leurs précédentes sorties (qui m'attendent sagement en France) afin de me préparer à suivre et à mieux connaître ONEPIXCEL, un groupe qui me plait de plus en plus au fur et à mesure des écoutes.

Allez, on va finir ce billet avec un petit coup d’œil vers le groupe sœur des ONEPIXCEL, les plus jeunes PiXMiX formées de six membres (lancées en 2017). Leur seul clip dispo et joyeux « Pump it up! » laisse entrevoir des influences musicales assez proches. À voir si elles parviendront à suivre le même très beau chemin qu'a ouvert ONEPIXCEL.

vendredi 3 mai 2019

Sélection musicale du mois de février 2019

Je vais essayer de me reprendre un peu en main et relancer progressivement le blog après quelques mois pendant lesquels j'ai un peu perdu, plus ou moins contre mon gré, ma motivation ici. Le billet qui va suivre a été en grande partie rédigé début mars... du coup, on va faire comme si on y était encore (ou presque)... Let's go.


Le dernier mois de février a justement été un mois vraiment intéressants côté musique japonaise avec deux retours que j'attendais beaucoup : les DA PUMP avec un nouveau single après le succès monstre que fut « U.S.A ». et Sekai no Owari avec leur nouveau double album. Mon mois de février a aussi été rythmé par toute la promo pour le premier best-of CAM ON! de Sakurako Ohara (sorti depuis le 6 mars).

Mais commençons donc déjà avec les DA PUMP qui avaient signés une année 2018 remarquable avec un titre « U.S.A ». qui avait affolé les chartes musicaux (seul l'inébranlable Kenshi Yonezu restait et reste intouchable). Forcement, on ne pouvait que scruter, avec attention, leur nouveau single qui est donc sorti le 6 février dernier : « 桜 / Sakura ». On revient avec ce titre dans une ambiance bien nippone après une excursion outre-pacifique.
Sans être au Japon, difficile de se faire un avis comme ça sur l'impact réel de ce nouveau titre, mais (comme cela était prévisible) il fonctionne moins bien : au classement du Recochoku de février, il occupait une timide 23e place. La vidéo du clip (ci-dessous) cumule désormais quand même plus de 6 millions de vues sur YouTube, ce qui reste très honorable.

« Sakura », DA PUMP
Vidéo Avex : lien YouTube

Quoi qu'il en soit, personnellement, j'aime beaucoup ce titre tout comme le clip que je trouve vraiment très chouette. L'esthétique est soignée avec des montages volontairement old-school mais visuellement cool ; le style vestimentaire colle bien au groupe et au titre. La musique est quant à elle un peu moins catchy que leur précédent tube, tout comme la chorégraphie, mais l'ensemble est en fait plus intéressant je trouve. ISSA et son groupe mériteraient vraiment de marquer cette année avec ce titre ; je leur dédie au moins ce billet.
Par contre, je ne sais pas trop pourquoi (politique d'Avex ?), il était impossible d'acheter ce single directement sur CDJapan.

On va désormais faire un détour du côté d'un groupe d'idols que je n'écoutais jusqu'à présent que très rarement : les UP UP GIRLS kakko KARI (un des nombreux groupes d'Up Front!) avec « キミロス / The loss of you » avec un clip publié sur YouTube à l'occasion de la sortie de leur nouveau single le 19 février. 

« The Loss of You », UP UP GIRLS kakko KARI

J'ai adoré dès la première écoute. J'avais alors lancé la vidéo juste par curiosité, tout en faisant autre chose. Puis, ce moment où la première fois où elle chante "moo inai", je n'ai plus détourné le regard et les oreilles. La musique est vraiment réussie.
En fait, je n'ai pas encore pris le temps de vraiment revoir en détail tout ce qu'elles ont fait, mais il y a plein de choses qui me plaisent avec une musique bien dynamique comme j'aime chez les idols.

Alors, ce coup-ci, on va faire une brève excursion fin janvier car il s'avère que j'avais alors totalement raté à ce moment la sortie du clip du premier single japonais du groupe nippo-coréen IZ*ONE : « 好きと言わせたい / Suki to Iwasetai ». À l'heure que je reprends ces lignes, nous sommes désormais en mai, et ceux/celles qui me suivent sur Twitter savent peut-être déjà que je suis depuis devenu fan de ce groupe... En effet, après cet excellent titre, côté Corée, elles m'ont définitivement conquis avec « Violeta ».

« Suki to Iwasetai », IZ*ONE

Ce titre est un mixte assez détonant, intéressant et grisant. Personnellement, même s'il est sympa, j'avais alors bien moins accroché à « La Vie en Rose » de leur premier mini-album coréen (avis révisé depuis). En fait, justement, il était fait pour parler à un public habitué à la K-pop. Parallèlement, « Suki to Iwasetai » était la réponse idéale : on retrouve le même groupe mais avec une musique faite pour plaire au Japon. On va retrouver ce qui est si agréable dans les MVs coréens : c'est (très) beau, la chorégraphie millimétrée est hypnotique. Toutefois (sans opposer les deux), à côté, l'ensemble reste essentiellement japonais à mes yeux, par les paroles évidemment, mais aussi par sa musique, une partie de sa chorégraphie, avec des plans sur les chanteuses qui sont autant hypnotiques. Je ne compte pas le nombre de fois que j'ai depuis regardé ce superbe clip.
Ce premier titre japonais des IZ*ONE m'a finalement pris par la main, bien fermement mais sans violence, afin de m'amener avec plaisir dans l'univers nippo-coréen de cet excellent groupe.

Allez, parlons maintenant un peu de Sekai no Owari. En effet, Après plusieurs années sans, le groupe est revenu ce 27 février avec pas moins que deux albums d'un seul coup Eye et Lip. Et pour célébrer cela, quelques jours auparavant, ils lâchaient sur YouTube le clip de « LOVE SONG », un concentré de leur savoir-faire, de leur talent, de la magie de leur musique. Tout est génial dans cette chanson tout comme dans le clip. Celui-ci m'a donné des frissons avec ce gamin, cette ambiance qui va à l'opposer du titre de la musique.


« LOVE SONG », Sekai no Owari

En fait, c'est vraiment dommage que Sekai no Owari ne semble pas réussir à percer en dehors du Japon (même s'ils tournent un peu en Asie). Ils ont une musique qui peut pourtant parler bien au-delà des leurs frontières nationales, avec en plus un sens du spectacle phénoménale sur scène. End of the World pourrait devenir un des ambassadeurs de la musique japonaise, au-delà du seul public restreint des fans de J-music.

Côté Hello! Project, les Tsubaki Factory m'ont fait plaisir en février. J'ai pu dernièrement exprimer un peu, ici et là, ma tristesse de ne pas trouver de nouveaux clips que j'adore chez le H!P et ses nombreux groupes. Les filles reviennent cette fois-ci avec un nouveau single sorti le 27 février qui contient entre autre « 三回目のデート神話 / The Myth of 3rd Date » qui me plait cette fois-ci vraiment beaucoup.


« The Myth of 3rd Date », Tsubaki Factory

J'y retrouve un rythme très rapide, une musique qui accroche, une réalisation visuelle tout aussi dynamique toujours en mouvement avec plein d'effets. Allez, on peut regretter que nos idols restent dans une thématique romantique si classique dans le contenu des paroles (H!P oblige), mais avec cet habillage musical, ça passe crème et j'aime.
La deuxième face du double-single nous offre une ballade plus classique mais plutôt jolie avec  de chouettes alternances solo/groupe avant le refrain.

Petite sélection musicale en vrac : — Tout d'abord avec un très extrait de live (un bien belle voix !) par Meimi Tamura (une ancienne membre du groupe d'idols Angerme du H!P) désormais en solo chez Victor Entertainement. — Si Kalafina n'est plus, malgré nos regrets, ses trois chanteuses ne vont pas s'arrêter là, notamment Wakana qui a un début d'année déjà bien actif. — Dans les groupes masculins, qui j'avoue ne sont pas légion sur ce blog, frederic reste une valeur sûr et leur dernier album en est la preuve parfaite ; pour accompagner cette sortie, voici l'un des MV du groupe mis en ligne en février. — J'ai déjà tout le bien dont je pense d'Harutya et sa voix féerique que j'ai découvert avec ses reprises/titres en compagnie de Kobasolo ; voici une autre reprise qu'elle avait publiée sur sa propre chaîne YouTube. — Une jolie découverte plus récente : AliA est un groupe au son et à l'ambiance rock qui mérite un peu d'attention ; ils ont d'ailleurs sorti le clip d'un très bon titre en février.

Oui, on va conclure ce billet avec la plus talentueuse des chanteuses japonaises (oui, oui, il n'y a pas de doute ! Et en tout objectivité~)...


« Chippokena Ai no Uta », akurako Ohara

... Je parle bien évidemment de Sakurako Ohara qui a sorti ce 6 mars son best-of anniversaire CAM ON! En février, avant cette sortie, était alors publiée une première vidéo de l'une des reprises de titres importants, ici « ちっぽけな愛のうた / Chippokena ai no uta ». Cette chanson est un régal, un titre d'une intensité folle, en particulier quand elle la chante sur scène ; elle me donne alors toujours des frissons, quelque soit le nombre de fois que je revisionne ses concerts. Ce réenregistrement est magique, tous ces instruments permettent même de redécouvrir la musique sous une nouvelle facette. Et Saku-chan est juste superbe dans cette vidéo. Vivement que je mette la main sur mes albums (en trois versions !)... ah, nan, je les ai bien eu depuis et je suis très content de les avoir. Ecoutez la musique de Sakurako Ohara, votre cœur ne s'en sentira que bien mieux ; testé et approuvé !

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Cette sélection ne reflète peut-être pas forcement la folie que fut février pour moi côté J-music avec plusieurs dizaines de CDs commandés ou reçus. Je peux enfin me faire réellement plaisir côté achats et je n'hésite pas à en profiter, même si vivre entre deux pays et recevoir ces CDs de si loin est un vrai problème logistique. Quoi qu'il en soit, c'est étrange, à reprendre ce billet, je me rends compte que février fut quand même un bon mois, alors que, personnellement, j'ai un avis mi-figue, mi-raisin sur ce début d'année 2019... En fait, c'est sans doute un bon gros caprice d'enfant gâté qui en veut toujours plus ; quand je regarde avec plus d'attention mes playlists mensuelles et mes listes d'achats, il y a plein de belles choses.

Allez, je vais tâcher de continuer à me motiver pour sortir, dans pas trop longtemps, ma sélection pour les mois de mars et d'avril. En tout cas, pour faire encore un bon plus en avant, après seulement trois jours en mai (et en période Reiwa), je me suis pris déjà une grosse claque avec les =LOVE en guerre contre les couettes, et plein de paillettes dans les yeux avec les Nogizaka46 qui transforment un clip en un magnifique tableau d'artiste. Ouais, je spoile le billet pour mai, mais c'est pour votre bien~